"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Pourquoi prenons-nous du plaisir à regarder des choses horribles ?
Depuis Aristote jusqu'à Walking Dead, la série télévisée qui suit une attaque de zombies, la question est posée. Grand connaisseur de tout ce que l'horreur a produit de films et de romans depuis plus de quarante ans, Noël Carroll analyse l'horreur comme un genre se déployant dans de multiples disciplines artistiques, mais reposant sur quelques structures narratives récurrentes. Philosophe, il apporte une réponse argumentée, riche et complexe, à ces deux grandes questions, fondamentales pour nous, grands consommateurs de fiction :
- comment quelque chose qui n'existe pas peut nous inspirer des réactions si réelles ?
- pourquoi sommes-nous tour à tour intéressés, fascinés, passionnés, par l'horreur, le gore, le sanglant, le macabre, le fantastique, l'angoissant, le terrifiant, les monstres, le sang, le crime ?
Mêlant avec aisance la philosophie, l'histoire de l'art et la culture populaire, ce livre est aussi un merveilleux dialogue entre des oeuvres aussi différentes que celles de Stephen King, Mary Shelley, George Romero, Edmund Burke, Roland Barthes ou Howard Phillips Lovecraft.
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