"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Issu d'une famille de calvinistes français germanisée au temps des persécutions, Werner Mazauric aime son pays, l'Allemagne, et ne croit pas que le nazisme, comme le prophétise son père, puisse accoucher d'une catastrophe.
Mais bientôt la guerre survient. Francophile et francophone, Werner est affecté à Paris au service de la propagande, dans la section chargée du milieu littéraire. C'est là que peu à peu le rattrapent la mémoire des valeurs ancestrales, l'amour de Stendhal, le goût de la liberté et la beauté d'une jeune juive franco-polonaise avec laquelle il prend le chemin de Marseille... puis des Cévennes. Roman d'une drôle d'Occupation - vue du côté des livres, des éditeurs, des écrivains qui s'insurgèrent ou firent le dos rond -, La Peur du noir est plus encore le récit mouvementé, parfois tragicomique, des vertiges et des désillusions auxquels s'expose un citoyen du monde, quand il cède au bonheur de s'engager.
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