"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« Le destin n'apparaît dans nos vies, des plus banales aux plus insolites, des plus heureuses aux plus tourmentées, que par l'arrivée de la mort. Elle seule est en mesure de donner le sens de l'histoire en écrivant sa fin. Elle seule, traductrice de nos actes et des événements qui remplissent une existence, est en mesure d'interpréter, de jeter une lumière sur une biographie qui jusque-là n'a semblé se dérouler que dans l'obscurité d'une coulisse : comme une répétition se faisant en un lieu étranger à la scène où cette histoire sera vue et entendue. »
Le 31 octobre 1975, Pier Paolo Pasolini est un homme à bout, épuisé par le tournage de son dernier film, Salo ou les 120 journées de Sodome, et les polémiques qui entourent sa sortie. Mais c'est toujours un combattant. Dans la nuit qui suit, il est assassiné sur un terrain vague à Ostie, non loin de Rome, payant le prix d'une vie et d'une production en marge de la société italienne post-fasciste d'après-guerre. C'est cette histoire tragique, relue sur le mode de la passion, que Selim Rauer retrace dans ce roman.
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