Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Tout encore est contenu, sans être dit, dans un beau titre : cette merveilleuse présence de la femme aimée encore plus sensible dans son absence, avec laquelle le poète se découvre endormi « comme les deux pages d'un livre ». Le jet d'eau a un profil de jeune fille et « les guêpes dans les jardins divaguent de gourmandise ». Comment ne pas suivre Fouad El-Etr sur les collines de Toscane « De feuilles de vigne tressées / Qui poussaient avec leur poitrine / Des soupirs longs tels des cyprès », ni évoquer la solitude mélancolique d'un des derniers poètes lyriques de notre temps ?
Dans une rue en pente légère.
Qui a le nom d'un instrument à cordes.
Et celle pluie qui m'entraînait.
Sans le savoir à ta rencontre.
Pour être plus seul cette nuit.
Je m'étais même dépouillé.
En marchant de ma solitude.
Et ton absence fut mon limier.
Je m'en allais d'un pas nocturne.
L'eau verticale à mon côté.
Dans la profonde ardoise des rues.
Pesant la terre avec mes pieds.
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Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Un véritable puzzle et un incroyable tour de force !