Le poème peut devenir photographie de l'invisible. Peut-être est-ce la seule possibilité de dire l'indicible.
"La vie bouillonne en ces arbres qui ces derniers jours encore pouvaient paraître morts".
Chaque texte de l'auteur nous invite à la grande vie présente dans notre petite vie.
En même temps il nous invite à l'effort nécessaire. pour créer cette ouverture. Parce que, à la différence de l'arbre pour lequel il semble que tout s'organise par la force des choses, l'homme doit participer à son devenir et se prendre en mains comme une oeuvre à achever.
(extrait de la préface de Jacques CASTERMANE)
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