80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Dans un univers marin, propice aux remous et aux tempêtes, Marie-Belle Ouellet tente d'exorciser la mort, les disparus, le vide qu'ils ont laissé, les épaves qu'ils ont créées, la solitude qu'ils ont générée dans un tourbillon d'images portées par ce décor de fin du monde. Loin d'être sombre, cet univers nous laisse entrevoir la lumière au fond des choses et des êtres un peu comme cette image de Félix Leclerc qui ouvre le recueil, celle d'une poignée de limon écrasée par l'homme qu'il enterre et qu'il regarde renaître en une fleur toute fragile qui finit par se faner et mourir.
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