A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
En 1986, Adolf Rudnicki composait ces adieux, écrivant l'épitaphe émue du poète Mieczyslaw Jastrun, l'ami de toujours, et évoquant longuement Jerzy Andrzejewski, ce «Polonais catholique» devenu, à une certaine époque, le chantre du régime communiste auquel il offrit Cendres et diamant. Józef Prutkowski, Witold Gombrowicz, Stanislaw Jerzy Lec... Une galerie de portraits funèbres ? Pas exactement et beaucoup plus. Rien de péremptoire ni d'exhaustif. L'esquisse de la sensibilité de chacun dans ses conditionnements, ses faiblesses, ses relations avec le pouvoir politique. Adolf Rudnicki, ce grand écrivain polonais, était le descendant d'une vieille famille hassidique. Là se trouve peut-être une des sources de l'écriture rudnickienne alliant le témoignage comtemplatif à l'exégèse patiente du livre de la Pologne et des Juifs polonais (Les fenêtres d'or, Le lion du Saint Sabbath...), du communisme (Le compagnon de route)... Inlassablement, Rudnicki tentait d'éclairer quelque peu, simplement, les forces obscures qui s'emparent des êtres et des peuples. Tâche ardue et solitaire de celui qui ne voulut être - dans la Pologne d'après 1945 - que d'un seul parti : «A. R.»
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste