80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Le titre étrange de ce nouveau recueil de Sobhi Habchi, écrit entre l'Orient et l'Occident, suggère avant tout une purification, un exercice spirituel qui s'enracine dans une sorte de catharsis individuelle et collective, compensation personnelle et cosmique à la fois dans laquelle la poésie tient lieu aussi d'une médecine de l'âme.
Dans l'ensemble des dix cahiers qui composent le présent recueil, le poète prête sa voix aux voix intérieures comme aux regards et visions qui deviennent des chants et des hymnes où le quotidien et l'éphémère ne sont que l'autre face de l'éternel. Ainsi, dans son essence, le poème reste l'expression d'une condition humaine qui doit regagner une part de sa divinité.
Sobhi Habchi, qui dénonce le mal et la laideur pour s'accrocher à l'amour et à l'amour de l'amour, ne cesse d'intriguer un grand nombre de ses lecteurs par de nouvelles sortes de correspondances et de paradoxes, par de cris de colère et d'indignations qui sont les hautes leçons données à l'homme par la vraie poésie.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année