"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
La Morsure du fleuve un chant citoyen pour ces héros d'Afrique, célèbres ou anonymes qui ont lutté parfois jusqu'au sang, eux, ces Mandela, ces Sankara, ces Lumumba, ces Um Nyobe mais aussi ces Moussavou, Bibang, Kodjo... à qui on ne rendra jamais assez hommage pour le mérite, pour le combat et pour la dignité de leurs arcs.
L'auteur poursuit son récital dans une ode à ces femmes, qui au seuil de son adolescence ont su dérober son innocence et pu contraindre ses rêves à emprunter des cheminements aux essences ambrées, enivrant son âme de symphonies inconnues.
Il marque le pas un bref instant pour lancer un cri de révolte au nom de ces enfants nés quelque part ; trop tôt ou trop tard et dont l'horizon bouché les a souvent jeté dans la rue.
Pour terminer Akagah Djonginyo souffle le chofar pour fustiger la déshumanisation de nos sociétés engluées dans une acculturation insipide et assommées d'illusions abâtardies...Ho quelle indigence ! L'indignation peut néanmoins s'accommoder d'espérance et sonner le glas des chaînes de la lâcheté et de la compromission.
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