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Ce livre est né d'un débat qui s'est tenu à Evry en novembre 2015, intitulé « La mémoire de la vie » entre Patrick Curmi, biologiste, médecin et actuel président de l'université d'Évry Val d'Essonne, et Edgar Morin.
Celui--ci développe l'idée motrice de son deuxième volume de La Méthode, « La vie de la vie », estimant qu'il est devenu vital de penser la vie.
Non point d'éliminer la notion, au prétexte qu'elle serait surinvestie d'enjeux philosophico--idéologico-- religieux, ou de la déclarer, du point de vue de la science, parfaitement superfétatoire, mais de chercher à la penser dans sa complexité, dans son unité, dans sa multidimentionnalité.
Le débat qui a réuni, plus qu'opposé, Patrick Curmi et Edgar Morin illustre bien le chemin parcouru par la biologie, depuis la « révolution » introduite par Crick et Watson.
On peut parler de la vie.
Sans ambiguïté, sans gêne particulière.
On doit même parler de la vie.
Et même de la vie de la vie.
Le livre est enrichi de plusieurs autres textes sur la mémoire qui attestent que lorsqu'on sollicite la plasticité du vivant, on s'adresse incontestablement à des mémoires vives.
Il s'agit de partager notre univers, au sens étymologique du mot, et les capacités créatrices de chacun, plutôt que de fragmenter la connaissance.
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