80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Loin de tout, comme hors du monde, perdue au milieu de son parc, de ses pavillons, de ses bois, la Maison de l'Aube ; a pour pensionnaires des hommes et des femmes au crépuscule de leur vie, plus ou moins abandonnés par leur famille, qui consument leurs derniers instants en nouant entre eux des liens d'amitiés ou de haine. Thér;se Maquart n'a pas choisi d'être là. Elle décide de résister, de se révolter parce que, sa vie durant, elle ne s'est jamais soumise. Tandis qu'elle m;ne une sorte d'enquête sur la mort de l'un des pensionnaires, elle commence à contrevenir aux rêgles de vie plus ou moins tacites de la maison de l'Aube. Au gré de ses déambulations, ses souvenirs vont et viennent, se mêlent à ceux des autres, ces presque-fantômes qui l'entourent, et rejoignent immanquablement le présent, au fil d'une réalité faite de rêve, de nostalgie et aussi d'espoir.
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