80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Certaines oeuvres d'art vous dépassent ou vous captent. Vous dialoguez avec elles, y projetez certains faits de vie : l'oeuvre propose son éclairage. Un retable cristallise le décès prématuré de la mère ; le destin d'un copiste vous interpelle ; une performance vous plonge dans la cruauté ; la peinture aborigène s'invite ; un prisonnier tue le temps en dessinant ; un déserteur vous inspire deux tableaux ; une marionnette symbolise l'univers de cet ami artiste ; votre corps éprouve le sentier d'art à chaque pas. Parler de ces oeuvres sans les montrer est toujours une gageure. Maintenant Internet permet de voir le retable d'Issenheim, le travail d'Itsuki Yanai, de Björn Fühler, de Paul Bloas et d'Andy Goldsworthy. C'est un conseil avant de lire ces haïbun.
L'auteur illustrateur a été " prof de maths " dans une autre vie. Avant de découvrir le haïku, il avait publié Clins de vie, en vers libres. Certains haïbun sont marqués par l'Est de la France et son histoire.
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