"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Une femme avance dans la vie avec le souhait de cocher toutes les cases. Magazines féminins et leur lot d'injonctions sous le bras, elle se construit autour d'un idéal inatteignable. Carrière, mariage, famille, elle se doit d'être tout pour elle et pour ceux qu'elle aime. Pourtant, dès la naissance de son premier enfant, son fils chéri, elle sent que quelque chose ne tourne pas rond. Anxieuse, elle guette le drame à venir au fur et à mesure que son idéal de jeune mère active, son couple et son moral se dégradent. Un deuxième enfant serait la solution ? À nouveau la maternité, l'amour plus fort que tout mais toujours, ce sentiment que quelque chose cloche : pourquoi ne trouve-t-elle pas son bonheur dans cette vie ?Et puis c'est la première crise, stupeur de voir son fils tressauter, désarticulé devant elle. Une deuxième puis une troisième confirmeront le diagnostic : l'épilepsie est entrée dans la vie de cette mère parfaite. Petit à petit, les crises se multiplient et s'intensifient. Jusqu'à emporter toute l'énergie de Solal, et avec elle le fragile équilibre familial. Cette mère en quête de perfection, va devoir faire face pour ses enfants, et continuer à avancer, même quand tout s'effondre sous ses pas. Un récit personnel, un parcours de femme, d'émancipation, une quête de soi, de l'explosion de son couple à la maladie de son fils. La Grenade, c'est la féminité, la gourmandise, mais aussi le cerveau qui se détraque et la bombe à retardement qui finit par exploser.
L'histoire était intéressante, c'est une femme qui suit un parcours dit normal boulot, mariage, enfant jusqu'à ce que Solal son premier enfant fasse des crises d'epilepsie . En lisant le livre, je n'ai pas versé une larme, j'ai compatis, compatis pour cette femme qui pourtant m'a énervé sur plus la moitié du bouquin avec du moi, moi, moi et le regard des autres que de longueurs avant qu'on passe à l'histoire de son fils en oubliant bien longtemps sa fille qui elle aussi était touché même si ce n'était que par ricochet. Un petit plus pour la fin contrairement à tous le livre qui est à la fois douce et amère, il y a plus le moi, mais le lui, le nous, on pense à Solal , à ce qu'il apportait à sa mère (qui avait bien besoin) à son entourage ... Le roman note avec justesse les problèmes des aides de l'état quand on a un enfant particulier. A quand on remise de fond et de forme de ce côté-là ?
Une femme avance dans la vie avec le souhait de cocher toutes les cases. Magazines féminins et leur lot d’injonctions sous le bras, elle se construit autour d’un idéal inatteignable. Carrière, mariage, famille, elle se doit d’être tout pour elle et pour ceux qu’elle aime. Pourtant, dès la naissance de son premier enfant, son fils chéri, elle sent que quelque chose ne tourne pas rond. Anxieuse, elle guette le drame à venir au fur et à mesure que son idéal de jeune mère active, son couple et son moral se dégradent. Un deuxième enfant serait la solution ? À nouveau la maternité, l’amour plus fort que tout mais toujours, ce sentiment que quelque chose cloche : pourquoi ne trouve-t-elle pas son bonheur dans cette vie ?
Et puis c’est la première crise, stupeur de voir son fils tressauter, désarticulé devant elle. Une deuxième puis une troisième confirmeront le diagnostic : l’épilepsie est entrée dans la vie de cette mère parfaite.
Petit à petit, les crises se multiplient et s’intensifient. Jusqu’à emporter toute l’énergie de Solal, et avec elle le fragile équilibre familial. Cette mère en quête de perfection, va devoir faire face pour ses enfants, et continuer à avancer, même quand tout s’effondre sous ses pas.
Un récit personnel, un parcours de femme, d’émancipation, une quête de soi, de l’explosion de son couple à la maladie de son fils. La Grenade, c’est la féminité, la gourmandise, mais aussi le cerveau qui se détraque et la bombe à retardement qui finit par exploser.
Ce roman parle de manière touchante, poignante, sous forme de témoignage d’une mère confrontée à l’Epilepsie de son fils. La narratrice touche en partant de ses rêves de jeune femme bien protégée qui aspire à un bonheur classique dans l’attente d’une réalisation idéale à travers la maternité. Et puis son fils, touche par la maladie et le quotidien en forme de montagnes russes l’amène à faire front, se dépasser et transmettre cet amour maternel malgré tout, La narratrice nous partage ce quotidien d’un petit garçon qui lutte contre la maladie et transmet ce regard extérieur tout en étant intimement lié de la mère impuissante à guérir les maux mais accompagnatrice des luttes, des combats. Une fois de plus ce roman interroge sur la façon dont notre société accompagne et intègre les différences,
#NetgalleyFrance #lagrenade
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