Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Une fois ôté tout projet d'écrire, on peut commencer de la façon la plus simple, faire avancer un nous, l'inscrire dans un espace élémentaire issu de l'enfance ou de l'administration des eaux et forêts, qu'il traverse on ne sait trop dans quel sens car il y progresse peu. Les éléments sont prêts pour un récit, mais disjoints, parfois défectueux. C'est un assemblage non-linéaire. Si chaque paragraphe est une nouvelle tentative, le but n'en est pas clair, quoique sans cesse il soit question de définir ce dont il s'agit. Du reste, le nous peut céder la place à un je, un tu, qui ne sont pas davantage individués. Ils ne sont aussi bien qu'un effet de la grammaire. Pas de solution de continuité entre la langue et le réel (ou la fiction), non parce qu'ils s'équivaudraient mais parce que croyant être dans l'un on est dans l'autre : ça communique, comme si - hypothèse - l'objet de ce texte était le texte lui-même et l'objet qu'il constitue, qui dérive à l'intérieur d'un espace clos.
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