"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Steven a onze ans lorsqu'il se laisse entraîner par Jérémy à commettre un crime barbare. Des années plus tard, il raconte. Ou tente de raconter. Son grand frère et la directrice du centre de vacances où le crime a eu lieu essaient eux aussi de comprendre ou d'oublier. Malgré l'horreur, ils cherchent un sens à leur vie.
Mais tous se heurtent à la même impossibilité : celle de dire à la fois l'amour et l'abjection.
Cet admirable roman est comme une série d'éclairs. Sa clarté aveuglante révèle ce que chacun de nous cherche à oublier...
Dans une colonie de vacances, Jérémy, un garçon de dix ans en tue un autre, Antoine. Il demande à son ami Steven de l’aider à se débarrasser du corps.
Histoire racontée par Steven, par son frère, par sa mère, par la directrice de la colo.
Mais que c’est glauque !
Pourquoi suis-je allée au bout de ce livre que j’ai failli refermer maintes fois ?
Les relations entre les enfants sont malsaines
Je ne suis pas prude mais leurs propos m’ont choquée
Tous les personnages semblent détraqués.
Je ne sais passe ce qu’il peut y avoir dans la tête d’un auteur pour qu’il ait envie de raconter une telle histoire.
Quant au titre « La douceur », je ne l’ai vraiment pas compris.
Un livre à se débarrasser, vite.
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