Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Steven a onze ans lorsqu'il se laisse entraîner par Jérémy à commettre un crime barbare. Des années plus tard, il raconte. Ou tente de raconter. Son grand frère et la directrice du centre de vacances où le crime a eu lieu essaient eux aussi de comprendre ou d'oublier. Malgré l'horreur, ils cherchent un sens à leur vie.
Mais tous se heurtent à la même impossibilité : celle de dire à la fois l'amour et l'abjection.
Cet admirable roman est comme une série d'éclairs. Sa clarté aveuglante révèle ce que chacun de nous cherche à oublier...
Dans une colonie de vacances, Jérémy, un garçon de dix ans en tue un autre, Antoine. Il demande à son ami Steven de l’aider à se débarrasser du corps.
Histoire racontée par Steven, par son frère, par sa mère, par la directrice de la colo.
Mais que c’est glauque !
Pourquoi suis-je allée au bout de ce livre que j’ai failli refermer maintes fois ?
Les relations entre les enfants sont malsaines
Je ne suis pas prude mais leurs propos m’ont choquée
Tous les personnages semblent détraqués.
Je ne sais passe ce qu’il peut y avoir dans la tête d’un auteur pour qu’il ait envie de raconter une telle histoire.
Quant au titre « La douceur », je ne l’ai vraiment pas compris.
Un livre à se débarrasser, vite.
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Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Un véritable puzzle et un incroyable tour de force !