"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dessinateur menacé de chômage, propriétaire d'un appartement qu'il a du mal à payer, mari d'une femme qui a perdu toute confiance en lui, Andrés Vigil est un homme ordinaire à qui il ne reste plus qu'une seule passion : le violoncelle sur lequel il tente désespérément de jouer une suite de Bach. Sa vie bascule le jour où il se rend discrètement chez le prêteur qui lui a consenti une avance pour l'achat de son instrument. Témoin malgré lui d'un règlement de compte qui se solde par le supplice de l'usurier, il comprend vite que non seulement sa dette n'est pas effacée mais qu'elle a changé de nature quand il constate avec effroi que l'assassin du prêteur s'est installé dans l'appartement au-dessus du sien.
Godoy, l'inconnu à la logique implacable et à la mémoire prodigieuse qui fait métier de la correction des défauts de ses contemporains, au besoin en les éliminant, va emprisonner Andrés Vigil dans une spirale, celle de la dette sans fin que l'on doit payer à la soumission volontaire, à l'admiration aveugle, à un usage de la justice et de la raison qui conduit à la folie.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !