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Roman? mémoires? récit? Quel nom donner à ce livre? Cet auteur qui tond l'herbe de son verger pour la dernière fois avant l'hiver, tout en pensant que ce pourrait bien être la dernière fois tout court, est-il un personnage de roman impliqué dans une histoire qui risque de mal finir? Il est en tout cas un mémorialiste, dialoguant avec sa grand-mère morte depuis longtemps et avec son « surmoi », visité par des réminiscences et des souvenirs qui se bousculent en désordre dans sa tête.
Peut-être y a-t-il aussi chez lui du moraliste, voire également une veine de polémiste à la dent dure quand il se mêle de l'évolution de notre société.
On ne lui déniera pas non plus une vision poétique du monde où il nous est donné de vivre.
Julien Dunilac recourt à plusieurs harmoniques pour nous faire partager ce qui peut en fait se résumer comme sa recherche du temps perdu, sa quête pour empêcher ses souvenirs de le fuir, comme nous tenterions de retenir de l'eau dans nos mains.
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