80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Au moment où la France s'interroge sur l'utilisation qu'elle doit faire de sa mémoire coloniale, voici un livre qui viendra nourrir le débat à travers la question des rapports entre l'art et la politique. Dans la lignée des perspectives ouvertes par L'Orientalisme d'Edward Said, Patrick Vauday s'interroge sur la manière dont la peinture du XIXe siècle s'est appropriée d'autres espaces culturels quand elle ne les a pas véritablement reconstruits. Quelle utilisation la peinture a-t-elle faite des motifs empruntés au Moyen-Orient ou au Maghreb ? Faut-il y voir un simple renouvellement des sujets ou au contraire le symptôme d'une véritable mutation esthétique ? Un asservissement au politique ou à l'inverse une résistance critique qui ouvre sur de nouveaux espaces sensibles ? Des oeuvres de Delacroix, Monet, Gauguin forment le support de cette analyse subtile.
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