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Grâce à ce commentaire et celui des autres lecteurs je viens d'acheter ce livre, il me tarde de le lire.
1940. Un paisible village anglais voit partir ses hommes au front. Restées seules, les femmes affrontent une autre bataille : sauver la chorale locale pour défier la guerre en chantant. Autour de Miss Primrose Trent, charismatique professeur de chant, se rassemble toute une communauté de femmes, saisie dans cet étrange moment de liberté : Mrs. Tilling, une veuve timide ; Venetia, la « tombeuse » du village ; Silvie, une jeune réfugiée juive; Edwina, une sage-femme qui cherche à fuir un passé sordide. Potins, jalousies, peurs, amours secrètes... Entre rires et larmes, Jennifer Ryan, s'inspirant des récits de sa grand-mère qui a vécu le conflit depuis un petit village du Kent, sonde les âmes de ce choeur que vous n'êtes pas près d'oublier.Un petit bijou d'intelligence et d'esprit typiquement british, dans la lignée du Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates et de La dernière conquête du major Pettigrew.
J'ai traînassé, trouvé mille excuses pour ne pas retourner à Chilbury. La correction d'un manuscrit. La lecture d'un autre. Les préparatifs de Noël, sapin, lumières et autres guirlandes emberlificotées. La classe à la maison pour mon fils, Covid oblige.
Combien de jours.
Pour en venir à bout.
Lutter.
Refuser de ne pas connaître la fin de ce roman choral insipide.
Oups
Donc, voilà.
On m'avait promis un descendant, un petit-fils, ou fils malheureusement pas unique, du Cercle littéraire des amateurs d'epluchures de patates. On ne m'avait pas menti. Alors oui, c'est ma faute, uniquement, personne d'autre à flageller que ma petite personne contrite et recroquevillée d'ennui.
Parce que le cercle littéraire des amateurs d'epluchures de patates ne m'avait pas franchement fait crier au génie.
Pourquoi remettre le couvert avec La chorale des dames de Chilbury alors ? D'autant que je suis prévenue, que diable, c'est écrit là, noir sur blanc, sur la quatrième de couverture !
Pourquoi.
Je ne sais pas.
Besoin de légèreté peut-être
Je plonge sans animosité dans cette Angleterre compassée mais non dénuée d'humour. Un livre qui conjugue correspondances et journaux intimes. La grande majorité, la quasi-totalité ! rédigée par des femmes. Ces femmes restées dans leur village de Chilbury pendant que leurs hommes, leurs fils, leurs neveux..., sont partis se battre contre l'Allemagne nazie.
Leur seule arme, à ses femmes bourrelées de peurs et de solitude, ce sont leurs voix. Leur chorale.
L'histoire n'est pas déplaisante. L'écriture la réduit à une semi-comedie sans envergure, où peu de clichés nous seront épargnés. Des portraits de femmes parfois inachevés, parfois caricaturaux.
Pas un livre pour moi, tout simplement.
J'éviterai de me pencher sur le cas de la dernière conquête du major Pettigrew...
J'ai traînassé, trouvé mille excuses pour ne pas retourner à Chilbury. La correction d'un manuscrit. La lecture d'un autre. Les préparatifs de Noël, sapin, lumières et autres guirlandes emberlificotées. La classe à la maison pour mon fils, Covid oblige.
Combien de jours.
Pour en venir à bout.
Lutter.
Refuser de ne pas connaître la fin de ce roman choral insipide.
Oups
Donc, voilà.
On m'avait promis un descendant, un petit-fils, ou fils malheureusement pas unique, du Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates. On ne m'avait pas menti. Alors oui, c'est ma faute, uniquement, personne d'autre à flageller que ma petite personne contrite et recroquevillée d'ennui.
Parce que le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates ne m'avait pas franchement fait crier au génie.
Pourquoi remettre le couvert avec La chorale des dames de Chilbury alors ? D'autant que je suis prévenue, que diable, c'est écrit là, noir sur blanc, sur la quatrième de couverture !
Pourquoi.
Je ne sais pas.
Besoin de légèreté peut-être
Je plonge sans animosité dans cette Angleterre compassée mais non dénuée d'humour. Un livre qui conjugue correspondances et journaux intimes. La grande majorité, la quasi-totalité ! rédigée par des femmes. Ces femmes restées dans leur village de Chilbury pendant que leurs hommes, leurs fils, leurs neveux..., sont partis se battre contre l'Allemagne nazie.
Leur seule arme, à ses femmes bourrelées de peurs et de solitude, ce sont leurs voix. Leur chorale.
L'histoire n'est pas déplaisante. L'écriture la réduit à une semi-comédie sans envergure, où peu de clichés nous seront épargnés. Des portraits de femmes parfois inachevés, parfois caricaturaux.
Pas un livre pour moi, tout simplement.
J'éviterai de me pencher sur le cas de la dernière conquête du major Pettigrew...
La quatrième de couverture indique que l'auteure s'est inspirée des récits de sa grand-mère. Celle-ci devait très bien raconter les histoires car ce roman est particulièrement réussi.
Au début de la Seconde Guerre Mondiale, une organisation anglaise Mass Observation a incité ses concitoyens à tenir un journal intime et à l'envoyer à leur siège pour publication.
Jennifer Ryan a construit son roman sous la forme d'extraits de journaux intimes et de courriers s'étalant de mars à fin août 1940.
Dans le petit village de Chilbury, les hommes partent peu à peu pour combattre sur le continent. Faute d'élément masculin, la chorale devra donc être dissoute. En effet, le règlement interdit les chorales de femmes.
L'une des habitantes du village, Miss Primrose Trent, va défier les règles établies et persuader d'autres femmes de la rejoindre et de former la chorale des dames de Chilbury.
Ces femmes sont d'âges et de conditions différentes, amies ou parfois rivales, mais toutes ensembles elles vont former une communauté qui va les aider à affronter les douleurs engendrées par la guerre.
Mrs Tilling la veuve timide, Venetia fille de général indomptable, Silvie la jeune réfugiée juive, Edwina la sage-femme auront toutes leurs vies bouleversées sous notre regard parfois brouillé par les larmes mais aussi quelques éclats de rire.
» La chorale des Dames de Chilbury » a été un excellent moment de lecture avec des personnages très attachants.
Angleterre, 2nde guerre mondiale, une professeur de chant décide de créer une chorale 100% féminine afin de soutenir le moral des troupes mais aussi des habitants de ce petit village anglais où gens normaux côtoient des notables. Diverses histoires vont se mêler à celle-ci et vont enrichir le roman.
J'ai beaucoup aimé ce roman qui est très agréable à lire. Je me suis de suite attachée aux personnages. J'avais hâte de connaitre la suite de leurs relations. Chaque chapitre, une autre dame prend la parole et cela met du dynamisme. L'auteur alterne les thèmes lourds et légers avec subtilité et fluidité..., les lettres et les extraits de journaux intimes...
Ce roman aborde la 2nde guerre mondiale, la romance et le tout avec empathie et justesse.
Un roman simple qui se lit facilement mais qui est très bien écrit, tendre...Charme et profondeur s'alternent pour notre plus grand bonheur.
"La chorale fait partie de la vie de Chilbury depuis l'aube des temps".
Treize voix de villageoises qui s'expriment, s'affirment, espèrent, font face, réconfortent et remontent le moral... en temps de guerre.
Un patchwork de vies et de personnages avec les bons et les mauvais côtés.
Un joli coup de "chœur" pour ce roman.
Un chœur de femmes fort uni fier et libre.
Grâce à ce commentaire et celui des autres lecteurs je viens d'acheter ce livre, il me tarde de le lire.
1940. Chillbury, petit village du Kent (Angleterre). Lorsque tous les hommes sont partis faire la guerre, les femmes restées seules, décident, grâce notamment à l'arrivée de Miss Primrose Trent (Prim), une charismatique professeure de chant, de sauver la chorale locale pour défier la guerre en chantant.
Jennifer Ryan, s'inspirant des récits de sa grand-mère qui a vécu le conflit depuis un petit village du Kent, nous plonge dans cette période difficile avec beaucoup de douceur. Un roman épistolaire dans lequel nous suivons toutes ces femmes avec leur doutes et leurs faiblesses, leurs amours et leur joie de chanter, délivrant le message que je trouve joli et inspirant: la musique peut aider à surmonter les épreuves de la vie.
Me voilà bien triste de quitter la ville de Chilbury et ses fabuleuses dames.
Ce roman est plein d’un esprit positif et de personnages attachants.
Jennifer Ryan situe son récit en 1940. La plupart des hommes étant partis à la guerre, la chorale de Chilbury est menacée de disparaître. Mais c’est sans compter l’enthousiasme et la ténacité des femmes de la ville qui feront tout pour maintenir cette chorale.
Sous ce prétexte, l’auteur livre de multiples messages essentiels à travers les histoires croisées de ses personnages.
Nous suivons en particulier Mrs Tilling une infirmière pleine d’empathie, Kitty Winthrop qui à 13 ans possède déjà un regard très acéré sur le monde, sa sœur aînée Venetia Winthrop mais aussi Edwina Paltry une sage-femme au passé trouble et qui continue à tremper dans de sombres affaires et Silvie une jeune réfugiée juive hébergée par la famille Winthrop. Mais de nombreux autres personnages complètent ce groupe fondamental.
Chacune d’entre elles prend la parole, sous forme de journaux intimes ou de lettres, et nous permet de suivre les aventures de cette petite communauté que la guerre va douloureusement éprouver.
Je le disais, ce roman délivre de nombreux messages comme par exemple la nécessaire solidarité et l’importance de savoir saisir les beaux moments que nous offre la vie. Car la guerre a cela de tragique qu’elle ne fait pas de distinction entre les gentils et les méchants, entre les militaires et les civils et chacun peut perdre la vie à tout moment. Mais le message vaut pour toutes les époques, qu’elles soient bouleversées ou plus calmes.
Chacun de ces personnages évoluera, changera en mieux ou pas. Mais aucun ne sortira indemne de cette année 1940.
Je me suis vraiment attachée à ces femmes, j’ai admiré leur courage, leur volonté et apprécié ce message universel que la musique peut aider à surmonter de nombreuses épreuves.
Bien sûr, on peut reprocher un côté un peu fleur bleue ou légèrement naïf au récit, mais cela passe très bien grâce à la qualité d’écriture et à celle des personnages tous très bien campés.
Ah revoici une atmosphère anglaise comme je les aime tant, même s'il faut l'avouer, la période pendant laquelle se déroule l'action n'est pas des plus joyeuses (1940).
Nous sommes ici dans un petit village du Kent et nous retrouvons pléthore de personnages, féminins en tête. Il y a (lise non exhaustive):
- Mrs Tilling, infirmière, au fort tempérament et au coeur tendre;
- Kitty, jeune fille de 13 ans - presque 14 comme elle aime le rappeler - amoureuse de Henry qui lui aime Venetia, sa soeur. Elle rêve de devenir chanteuse et pourrait voir ce rêve devenir réalité;
- Silvie, une jeune Tchécoslovaque de 10 ans, juive, réfugiée en Angleterre pour échapper aux rafles;
- Mrs B, la châtelaine du village;
- Venetia, la beauté de 18 ans, soeur de Kitty, un peu légère et cruelle, très amoureuse de Alistair. C'est pour moi le personnage le plus intéressant du roman au vu de son évolution;
- Miss Paltry, sage-femme sans scrupule,...
Dans ce village, les femmes - et quelques hommes, mais la plupart sont partis combattre au front - se jaugent, se jugent, se lient d'amitié, se tournent autour, se croisent, se méfient les unes des autres, sont voisines, discutent mais sans réellement se connaître et être solidaires les unes avec les autres. L'arrivée de Prim, qui veut créer une chorale exclusivement féminine au vu de la défection des hommes, ainsi que les temps difficiles, vont peut être bousculer l'ordre établi. Je n'en dirai pas davantage!
C'est un roman que j'ai pris beaucoup de plaisir à lire, que j'ai trouvé très dur d'un côté (la guerre) et terriblement réconfortant de l'autre.
Pour ceux qui, comme moi, aiment lire épisodiquement en anglais du moment que ce n'est pas trop technique et compliqué à suivre, ce roman est parfait.
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