80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Huit nouvelles : La cape de Mandrake, La méthode au Gino, L'Homme qui tua Ferdinand le Taureau, Le Matador, Parle à Monk, La donation Morel, Pondichéry-Linares, L'Indien des Village People.
Toros pacifiques, toreros ratés mais sympathiques, toujours juste en deçà des premières marches de la gloire, passions extraordinaires de gens très ordinaires : les nouvelles d'Antoine Martin mettent en scène de façon décalée et irrésistible des êtres confrontés à leur passion exclusive pour le toro brave. S'y entrecroisent aficionados fascinés par la gloire mais héroïques par mégarde, vaillants de l'ordinaire cependant prompts au compromis, parlant haut et se rêvant plus fort encore...
L'univers taurin n'est ici que prétexte à mieux peindre, avec une ironie pleine de tendresse, une espèce curieuse, l'humanité, que nos amis les toros braves contemplent, tel Ferdinand, avec complicité.
Depuis le grand Dubout, on sait que l'arène et sa population constituent un observatoire privilégié des grandeurs et servitude humaines : armées de mots plutôt que de pinceaux, voilà sans doute des histoires qu'il n'aurait pas renié !
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année