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À « La cantine du diable », les habitués s'accrochent au comptoir comme on se connecte à un réseau. On parle de soi en regardant les autres, faire de même.
Le matin, ça commence avec Farid et ses phrases, des pelotes d'énigmes renfermant la vérité. Avec Jean Claude, syndicaliste en grève jusqu'à la retraite, vient Michel, le maire, pour qui, la tolérance a balayé les convictions. Dans la nuit, on croisera Louise. Marx dirige sa vie, comme une boussole dans son verre de Jack Daniel's.
Dans cette allégorie de la marmite, Camille, la patronne assemble à feu doux, les meilleurs morceaux de chacun d'eux. Sa dernière tentative pour lier cette sauce de destins pourrait bien sentir le roussi. Dès les premières vapeurs alléchantes, le diable pousse la porte et passe à table en conviant tout le village. À la fin du banquet, qui payera l'addition ?
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