Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
« On ne rit pas de l'Art Contemporain ! » Le public le sait bien.
Cela ne se fait pas. On passerait pour un beauf, ou pire : pour un nazi ! . Depuis plus de trente ans, on est respectueux de l'AC, on est plein de componction, d'admiration ébahie.
On s'incline devant sa haute moralité politique, sa « mission critique », son dérangement salvateur.
Eh bien non ! Nicole Esterolle n'est pas dupe. Son livre, plein d'informations rares et précises, arrive à point nommé pour parachever la levée de l'omerta sur cette anomalie historique qu'est l'art dit contemporain et pour favoriser le retour au sens élémentaire et au droit commun, dans un domaine ou Père Ubu était devenu le roi, entouré de ses innombrables bouffons du financial-art .
Oui, l'art dit contemporain est une gigantesque bouffonnerie, dont les malheureuses victimes sont les artistes de l'intériorité et du contenu sensible, et dont les heureux bénéficiaires sont les artistes de l'extériorité spectaculaire, du paraître, du contenant, de la posture et de l'imposture. Sans compter les financiers qui en profitent !
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