Valence. Lundi 1er Février. Une femme est retrouvée morte à son domicile, criblée de coups. À quelques rues de là, un homme est retrouvé inconscient, une balle logée dans un poumon. Aucun témoin. Aucun indice. Un lien existe-t-il entre les deux attaques ? Retranchés dans un vieil entrepôt abandonné, les officiers Monaz et Olios sont chargés de l'enquête. Afin de les aider dans leur tâche, la boîte à souvenirs est mise à disposition. Chaque jour, ils visionnent le quotidien de la victime. Jusqu'au jour J. Ils découvriront que derrière certaines personnes se cachent de sombres facettes, souvent inconnues de leur entourage. Le temps finit toujours par mettre en lumière la part d'ombre qui réside en chacun de nous.
Mais quelle est donc cette boîte à souvenirs, utilisée par deux inspecteurs, au chevet de Stefan, qui a été agressé et qui est actuellement dans le coma. ce n'est pas la machine des mensonges mais une machine branché au cerveau et qui relate quelques souvenirs de la personne.
Les deux inspecteurs, David et Antoine, vont alors regarder ses souvenirs et en apprendre un peu plus sur les derniers jours de Stefan avant son agression mais ils sont chargés aussi de l'enquête sur le meurtre de Marie, la soeur de l'un des inspecteurs.
Stefan, David, Antoine, Kevin, les parents de Stefan sont les personnages de ce roman sombre, noir mais avec une histoire d'amour.
Nous sommes entraînés dans les sentiments de chacun dans les apparences, dans les secrets tout cela à travers les images de cette machine à souvenirs. mais attention, saurons nous qui a été le coupable, qui a été la victime et attention de ce que l'on fait de ses souvenirs.
Nous avons les différents points de vue des personnages qui ont chacun une part d'ombre et malgré des scènes apparentes de joie de vivre, de bonheur, le sombre n'est jamais loin.
Ce texte aborde plusieurs sujets difficiles, la culpabilité, les apparences, les non dits, les addictions, la vengeance.
Nous ne regarderons peut être pas de la même façon des êtres sdf, qui n'ont pas d'autre solution que de se coucher sur un carton dans les rues de nos villes, mais ce sont peut être par eux qui doivent nous faire peur ! Il faut peut être plus se méfier des apparences d'êtres apparemment normaux, dans la norme, qui donnent l'impression d'avoir une vie normale et paisible...
Un sacré roman noir.
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