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« Sans l'aspect ludique, croyez-moi, je n'écrirais pas » a affirmé Abdelfattah Kilito. Faisant écho à Kafka, il est celui qui « parle toutes les langues,mais en arabe ». Il lit dans toutes les langues, et tente d'établir des passerelles entre les différentes cultures. Le télescopage entre culture orientale et culture occidentale se fait, non sans heurt, révélant affinités et antagonismes. D'un rivage à l'autre, d'une langue à l'autre, il est le colporteur du travail des anciens sans pour autant négliger lesmodernes. Au « lire pour vivre » de Flaubert, on peut avancer un « lire pour lier » dans le cas de Kilito.
Ces entretiens avec Amina Achour nous font ici découvrir l'homme et l'écrivain, l'un éclairant l'autre.
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