"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Ce poe`me part d'un dessin d'arbre nu et de la simple contemplation de cette peinture. Pre´texte alors a` soulever de nombreux questionnements : le temps, la conscience de soi, et sans doute la conscience de soi par l'autre, par ce qui cre´e un lien entre soi et le monde, entre soi et la me´moire. Finalement, il va e´tablir un lien entre le regard et le faire, la nature comme une force de vie incroyable, comme un mode`le d'e^tre-au-monde presque parfait. On ressent ici une importante recherche de ce qui est immuable, de ce qui fabrique le quotidien dans sa que^te de sens, anime´ aussi par un combat contre le besoin de posse´der mate´riellement le monde, ce que cela apporte de superficialite´ et de de´possession de soi finalement. C'est une recherche du beau dans ce qu'il a de simple et e´vident, le beau dans le de´nuement total. La poe´sie de Ce´dric Le Penven fait partie de ce que l'on appelle une poe´sie du quotidien, en ce qu'elle va chercher a` l'inte´rieur de soi des liens plus profonds et plus larges avec le rapport au temps et a` sa cicatrisation, le rapport au monde et a` ses lignes de fuite.
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