80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Les sciences humaines et sociales ne sont plus le monopole d'une petite partie du monde, l'Europe occidentale, l'Amérique du Nord, rejointes assez tôt par l'Amérique latine. Elles sont pratiquées partout, avec de plus en plus souvent une capacité des chercheurs à se situer au meilleur niveau, et à participer à des échanges scientifiques réellement planétaires, tout en ayant un fort ancrage dans leur propre société.
L'Occident a perdu l'hégémonie scientifique, ce qui présente des implications considérables. Les chercheurs occidentaux, ou formés à l'Ouest, ou par lui, ne peuvent se contenter du projet d'une extension à la planète tout entière de concepts et de catégories nés exclusivement, croit-on trop souvent, dans une seule partie du monde. Nous devons repenser les valeurs universelles. L'expression «Penser global» constitue un signe de ralliement pour cet ouvrage qui rassemble les contributions de chercheurs en sciences sociales parmi les plus reconnus dans le monde.
Penser global, c'est s'intéresser à des logiques mondiales, planétaires, et articuler ce niveau d'analyse à d'autres niveaux, régionaux, nationaux ou encore locaux. Michel Wieviorka
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année