Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Georges Ohnet a écrit, comme beaucoup de ceux qui ont vécu ces années-là, sur la Grande Guerre. Pourquoi exhumer son Journal d'un bourgeois de Paris pendant la guerre de 1914 de préférence à d'autres textes qui lui sont contemporains? Pourquoi rééditer les 2176 pages de ce Journal alors que l'inexistence littéraire de Georges Ohnet est avérée et que même ses écrits sur la guerre ne présentent qu'un intérêt mineur? La réponse est évidente: parce que Georges Ohnet, parce que ses lecteurs, parce que son statut auprès de ceux-là même dont Jules Lemaître mesurait l'esprit assez étroit pour se retrouver chez lui comme s'ils étaient chez eux. Le témoignage du feuilletoniste, ses impressions de guerre, sa logorrhée de commentateur imprécis, tout cela représente très probablement une pensée assez commune à bien d'autres Parisiens. Elle tient du Café du Commerce? Oui, sans doute. Mais ces «longues» de comptoir nous disent un état d'esprit. Et celui-ci mérite d'être connu.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !