80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Négligées par l'histoire officielle de la Révolution française, les déportations politiques en Guyane après le coup d'État du Directoire du 18 fructidor an V (4 septembre 1797) ont frappé près de 300 personnes : la moitié sont mortes sur place en moins de deux ans. Au nombre des seize premiers « déportés de fructidor », André-Daniel Laffon de Ladebat, Président du Conseil des Anciens, a retracé quotidiennement dans son Journal son voyage et son exil forcés dans la Guyane de la fin du XVIIIe siècle, qualifiée alors de « guillotine sèche ». Considéré par plusieurs historiens comme l'un des témoignages les plus importants et les plus factuels sur les « déportations de fructidor », la présente édition annotée de ce Journal est complété par une biographie de son auteur et par ses principaux discours politiques : « Discours sur la nécessité et les moyens de détruire l'esclavage dans les colonies », « Discours au Tiers-état de Bordeaux » et projet de « Déclaration des droits de l'homme ».
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