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Au XIXème siècle, l'aquarelle n'était pas considérée comme un art à part entière, mais plutôt comme la technique préférée des amateurs, en particulier des dames de la bonne société, ou, pour les artistes de profession, comme des ébauches préparatrices en vue de tableaux achevés dans leur atelier. Il y avait des exceptions tout à fait notoires, en particulier au sein de l'école des aquarellistes anglais, dont J.M.W. Turner était l'un des plus éminents représentants. Mais, à la fin du siècle, Sargent devint l'un des premiers peintres dont les aquarelles furent appréciées pour leurs valeurs intrinsèques. À partir de 1910, il commença à les exposer, dans des expositions spécialisées d'abord, à Londres, à la Royal Watercolour Society entre autres, puis aux États-Unis. (...) Homer, seul aquarelliste pouvant rivaliser avec Sargent, était très prisé pour ses valeurs américaines rustiques au détriment du style de Sargent considéré jusque-là comme trop mou et raffiné, ce que l'on imputait à ses influences européennes. Mais la puissance, la nouveauté et la vigueur de son art eurent le pouvoir de confondre toute critique et firent de lui un artiste de stature égale sinon plus grande.
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