80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
C'est d'abord une galerie de portraits de Jeunes des rues.
Depuis les tas d'ordures de Dar es-Salaam jusqu'au sommet du Kilimanjaro, mais, plus souvent, dans les comissariats et tribunaux de Dodoma, une petite ville perdue au bout de nulle part sur le vaste plateau aride de la Tanzanie, ils ne se laissent pas oublier. La vie de ces jeunes est d'eau, quand elle apporte la vie mais quand elle fait défaut, quand la sécheresse rythme les saisons de ce pays essentiellement agricole.
Leur vie est aussi de feu, le feu de leurs espoirs si souvent déçus, le feu qui dévore les voleurs brûlés vifs... Ce récit superbe et plein d'humour se lit comme un roman. Cependant, rien n'est inventé. Durant dix années passées au service de ces jeunes, l'auteur s'est laissé conduire par eux bien plus loin qu'il ne le pensait. Il nous donne un livre de partis pris, mais aussi de foi. Pour ces jeunes il y aura un avenir.
Un livre que le lecteur n'oubliera pas facilement.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année