"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Je voudrais tant.
Tant vous convaincre de lire ces pages.
Cette histoire d'un amour qui défie la mort. Et qui reconstruit jour après jour - mais pas en un mois, pas en une année - avec une infinie volonté, un grand Jean.
Un Jean dont la tête, les mains, le corps tout entier, se donnent, se battant avec la cire, la terre, la pierre et les flammes, contre les imbéciles et le diable aussi, pour couler le bronze, le métal hurlant qui dira l'indicible, le mal et la beauté du monde.
Au risque d'y perdre l'esprit. Et la vie.
C'est l'histoire aussi, plus grande s'il se peut, d'une petite Marie, fille de Flandres, fille du Nord comme Jean Roulland, qui rêvait de créer des formes, des corps et des visages, comme lui, et qui, tout simplement, et tout superbement, l'a aidé, l'aide, à être et à faire.
La grande Marie.
C'est une histoire contée avec une tendresse et une chaleur éblouies, majuscules ; une histoire faite de mille et mille histoires.
Au bord de la mort. Au coeur de l'amour.
Jacques Duquesne.
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