80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Je m'appelle Messaoud Bouras et j'ai 56 ans. Issu de parents immigrés, j'ai dû batailler pour me trouver une place dans cette république qui a toujours eu du mal à intégrer cette partie d'elle-même venue d'ailleurs. En 1993, ma vie était réussie. Marié, bientôt père de deux enfants, salarié d'une entreprise publique, j'étais devenu un petit « beurgeois ».Mon ex-épouse est, comme moi, d'origine algérienne. Elle est de confession musulmane. Je voyais en elle la femme de ma vie. J'ignorais qu'elle serait celle qui l'entrave.C'est devant mon refus de respecter les principes islamiques que mon ex-épouse et sa famille ont décidé de me rendre la vie dure. Pendant cinq ans, j'ai mené un combat quotidien pour obtenir un droit de visite de mes enfants, en vain, car les juges aux affaires familiales ont considéré que j'étais islamophobe.Par la suite, j'ai endossé le costume de lanceur d'alerte pour dénoncer l'islamo gauchisme et l'enfermement identitaire.Messaoud Bouras est français d'origine algérienne. Opposé à l'islamisme et à l'intégrisme, il a décidé de renier l'islam. Depuis, il a divorcé, subi un harcèlement moral et reçu plusieurs menaces pour avoir apostasié publiquement l'islam et dévoilé les versets coraniques incompatibles avec les valeurs républicaines.
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