"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Ministre de l'Éducation nationale et des Beaux-Arts du Front populaire à trente-deux ans, assassiné à trente-neuf ans par la milice de Darnand (ministre de l'Ordre public de Pétain), Jean Zay a laissé une empreinte profonde dans tous les domaines de son activité ministérielle déployée quarante mois durant : enseignement des premier et second degrés, enseignement universitaire, recherche scientifique, vie culturelle.
On lui doit l'unification des ordres d'enseignement primaire et secondaire pour garçons et filles, le CNRS, l'éducation physique et sportive obligatoire, les cantines scolaires, la médecine préventive, l'orientation scolaire, le 1,5% architectural, de nombreux musées, le Palais de la découverte, l'École nationale d'administration, le Festival de Cannes et bien plus encore...
Injustement persécuté et condamné en 1940 pour l'origine juive de son père, assassiné en 1944, réhabilité en 1945, inhumé à Orléans en 1948, négligé depuis, il entre au Panthéon en 2015, soixante et onze ans après sa tragique disparition...
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