80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Un jour j'ai eu 27 ans. Et le moi du passé m'avait laissé un message sous forme d'un rappel dans mon calendrier : Alors ça y est ? T'es enfin parti ?. Sans vraiment savoir pourquoi, le voyage me fait rêver depuis enfant : l'aventure sur les chemins, les grands espaces, la liberté. Je prends l'avertissement au pied de la lettre. Ok c'est bon, je pars.
Voici les premiers mots de mon carnet :
Et puis arrive enfin la date. C'est bon j'ai tout plié. Mes affaires sont entassées dans le garage de Papa et Maman. J'ai passé des heures à faire mon sac en emmenant tout un tas de trucs que je n'utiliserai jamais. Et d'autres qui ne me quitteront pas. J'ai dit au-revoir à tout le monde. C'est la dernière soirée. Le dernier métro. Le dernier RER. Sur la vitre, un mec a gravé Change. Je me dis que c'est forcément un signe. En quelques minutes, je me retrouve dans l'avion qui m'emmène de l'autre côté de l'Atlantique. Direction Sao Paolo au Brésil.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année