« Je meurs, c'est cool, au coeur de l'éternité, je pars pour de nouvelles aventures, il me reste toujours une infinité d'histoires à exister. Le verre est toujours plein ».
Germaine Germain a la certitude absolue que les personnes existent et qu'il n'y a pas d'autre certitude absolue. Au-delà de Descartes et sur cette seule base, elle construit une métaphysique et une philosophie qui s'articulent naturellement avec le développement des connaissances scientifiques. Cela l'ame`ne à donner une interprétation surprenante de Dieu et de la Matie`re, qui, au lieu d'être à l'origine des personnes, en sont les conséquences.
En définissant le Bien du Mal, l'auteure propose une morale et une législation toutes deux pragmatiques, c'est-à-dire non inspirées par des religions ou toutes autres idéologies.
En réaction à ceux qui l'ont attaquée quand elle n'était qu'une enfant vulnérable, elle se défend contre les religions, les églises, leurs clercs et leurs multiples morales.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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