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J'accuse l'URSAFF ... !

Couverture du livre « J'accuse l'URSAFF ... ! » de Philippe Pascal aux éditions Atlande Editions
Résumé:

«Sept années de procédures, de bagarres, de doutes, de menaces, d'agressions, de révolte, de ques9onnement. Sept années pendant lesquelles Philippe Pascal s'est ba=u seul contre des ins9tu9ons qui auraient dû le défendre et qui l'ont fait craquer, jusqu'à me=re sa vie en danger. Philippe Pascal... Voir plus

«Sept années de procédures, de bagarres, de doutes, de menaces, d'agressions, de révolte, de ques9onnement. Sept années pendant lesquelles Philippe Pascal s'est ba=u seul contre des ins9tu9ons qui auraient dû le défendre et qui l'ont fait craquer, jusqu'à me=re sa vie en danger. Philippe Pascal aurait pu être démoli par ces épreuves. Il a tenu bon. Ce livre en est la preuve. Il témoigne de sa force et de son envie de partager avec nous son histoire.
Ce=e histoire n'est pas seulement le récit du pot de terre contre le pot de fer. Elle va bien au-delà. Elle pointe et documente les égarements de l'État, de sa jus9ce, de sa police dans un microcosme départemental qui favorise l'entre-soi. Philippe Pascal fut dans le département du Vaucluse, inspecteur de l'URSSAF, l'organisme qui a pour mission de collecter les co9sa9ons et les contribu9ons de financement de la Sécurité sociale. Son rôle : traquer les fraudeurs au nom de l'administra9on, c'est-à- dire en notre nom. Lorsqu'il croise la route de François Mariani, un notable local -cousin de Thierry Mariani, ministre des Transports à l'époque des faits- il ne fait que son mé9er en lui no9fiant en novembre 2011 un redressement de plus de 700 000 euros. Faire son mé9er ! Avec rigueur et précision.
C'est exactement sa philosophie à Philippe. Sans revanche, amertume ni animosité personnelle.  Or, c'est précisément pour avoir fait son mé9er, seulement son mé9er, que Philippe a été poursuivi par M. Mariani, puis mis en défaut par son employeur et fragilisé par la jus9ce. Dans une République qui, paraît-il, valorise le travail et l'effort, Philippe Pascal aurait dû être salué, encouragé, voire décoré. Très vite, il se heurte au mur des 'ronds de cuir qui veulent juste une belle carrière', selon sa formule. En bousculant l'ordre établi des caciques locaux, il se confronte à la réalité des connivences et des pe9ts arrangements entre amis.» 

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