80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Quand on écrit son journal, on a parfois l'impression de rabâcher. Pourquoi redire avec des mots ce qu'on vient de vivre dans la réalité ? C'est un pléonasme. Dans ce livre qui s'étend sur une vingtaine d'années, je n'ai voulu retenir de la vie que les détails, ces moments où, sans raison apparente, j'éprouvais le besoin de fixer un souvenir, une réflexion, le hasard d'une rencontre ou la surprise d'un rêve, comme de raconter un accident de la route, un voyage en Inde ou aux Amériques. Et puis, avouons-le, quand l'occasion s'est présentée, je n'ai pas résisté au plaisir d'une saine colère contre les sottises de l'époque.Ces différents morceaux détachés du temps qui passe finissent par composer une autre image de la vie (et de l'auteur), un peu comme dans l'amour, un regard, un geste remplacent un long discours. Ce sont des «instants dérobés».Roger Vrigny.
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