80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« Dans l'horizon d'une rue qui s'enfuit, les empreintes laissées sur un mur graffité ou le visage fermé d'un piéton immobile, Jean-Pierre Favreau interroge la Ville. Multiple, diverse, elle reste ici, une, singulière. Nul n'est besoin de savoir où nous sommes, à New York, La Havane, Brest ou Lisbonne ;
Nous sommes voyageur des bordures, des franges, aux frontières du clair et de l'obscur. Le fil ténu qui relie chaque cité, c'est ce moment d'égarement perçu dans une attitude, cette expression d'abandon retrouvée dans une autre ; la part de ténèbres rencontrée au coin d'une rue, un rai de lumière saisi au pied d'un immeuble. Les lieux changent, la solitude demeure intacte, l'interrogation sans réponse, la quête en devenir.» Sophie Malexis
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