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« C'est ainsi qu'à des degrés différents d'implication depuis les indépendances il y a plus de soixante ans, les pays africains réclament en vain la restitution de leurs biens culturels spoliés et conservés pour la plupart dans les grands musées européens. Cette demande ne concerne que les biens mal acquis, c'est-à-dire volés ou extorqués. »
Main basse sur le continent africain.
Europe et Amérique se sont grassement enrichies, en pillant avec méthode les ressources de l'Afrique. Théorisée puis orchestrée en haut lieu, encouragée par l'Église, cette appropriation sanglante a également dépouillé les Africains de leur capital culturel, en somme, du ciment spirituel vital.
De nos jours, cette étrangeté est encore largement tolérée par des Hommes d'État, des Hommes d'Église, l'Organisation des Nations Unies, l'Union européenne, des érudits, dont des universitaires. Pourtant, la propriété est un droit inviolable, un droit sacré. Le droit de suite est un droit d'auteur. Il est perpétuel, inaliénable, imprescriptible, transmissible. Cet ouvrage examine les conditions d'une extension du droit de suite au patrimoine culturel africain. Un juste retour aux sources des oeuvres de l'esprit, arrachées à leurs auteurs et ayants droit. Cet ouvrage est un hymne à l'amitié entre les peuples, un hymne à la prospérité partagée.
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