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Il n'y a plus de vieillesse !

Couverture du livre « Il n'y a plus de vieillesse ! » de Gilles Horiac aux éditions 180° Editions
Résumé:

Le printemps est la saison des révolutions : et si, cette année, nous assistions au printemps des seniors ? Car, comme le fait remarquer Georges : « Mai 68, c´était déjà nous ! » Les Lilas Blancs, une maison de retraite. C´est là qu´Alain, Béatrice, Bernadette et Georges se rencontrent, et... Voir plus

Le printemps est la saison des révolutions : et si, cette année, nous assistions au printemps des seniors ? Car, comme le fait remarquer Georges : « Mai 68, c´était déjà nous ! » Les Lilas Blancs, une maison de retraite. C´est là qu´Alain, Béatrice, Bernadette et Georges se rencontrent, et commencent véritablement leur vie. A 70 ans.
Neutraliser un jeune délinquant dans les rues de Mons, inviter la reine Mathilde à signer une pétition à vocation humanitaire, entreprendre un raid clandestin pour sauver un site naturel, emmener des SDF dans un restaurant étoilé, enregistrer une chanson qui deviendra un tube mondial, démonter une émission télévisée truquée, organiser un mariage gay dans le parc de la résidence, ... nos quatre héros n´ont plus une minute à perdre !
Il est bien fini, le temps où l´on infantilisait « les vieux » pour mieux les soumettre.
Gilles Horiac jette dans ce roman un oeil drôle, tendre et optimiste sur la nouvelle génération des seniors.
À PROPOS DE L'AUTEUR Gilles Horiac a déjà signé cinq romans : Quand tu seras petit ; Sales gosses, je vous aime ; Pleine lune ; Sa Majesté Léa ; Enquête chez les oiseaux.
Il n´y a plus de vieillesse ! est son sixième roman, dans lequel il nous invite à suivre une tendre et optimiste révolution au coeur d´une maison de retraite.
EXTRAIT Quand « Les Lilas Blancs » accueillent un nouveau pensionnaire, la directrice Jeanine Tricot commence toujours la visite par la cafétéria, sans doute parce que c´est de loin la pièce la plus avenante de la maison de repos. Restaurant matin, midi et soir, l´espace se métamorphose, une fois le repas achevé, en un salon de divertissement, où les uns jouent aux cartes, tandis que d´autres dorment ou rêvassent face à l´immense baie vitrée qui ouvre sur le parc. Attablée seule à côté d´un vieux piano désaccordé depuis longtemps, Joséphine recommence inlassablement sa réussite, qu´elle ne parvient jamais à conclure victorieusement, vu que son jeu ne comporte que cinquante et une cartes.

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