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Le poison est-il vraiment passé de mode ? Pas si simpleâÂÂÂÂ! Les faits regorgent encore d'assassinats subtils où des substances nouvelles sont en jeu. Depuis toujours, la jalousie, l'appât du gain, la vengeance ou l'ambition ont provoqué le meurtre. Les interrogations fusent à l'autopsie, et la police (aujourd'hui scientifique) recourt à toute une panoplie d'outils et d'analyses. Dès lors la question se pose : comment prouver l'empoisonnementâÂÂÂÂ? Le poison au cours des siècles est devenu de plus en plus indécelable. Il se dissimule dans les plats, dans le vin, mais imprègne aussi bien des gants qu'une lettre, se vaporise sur des fleurs ou des fruits.
Quant à la palette des poisons, elle est vasteâÂÂÂÂ: l'arsenic, déjà utilisé par les Grecs ; la litharge ou « pierre d'argent »âÂÂÂÂ; l'eau-forteâÂÂÂÂ; les sublimés ou sel de mercureâÂÂÂÂ; mais également le venin de vipère, le sang de crapaud ou le verre pilé. et aujourd'hui de discrètes formes chimiques ou bactériologiques.
Bernadette de Castelbajac examine en autant de petits récits les cas d'empoisonnement les plus célèbres (ou moins connus) de l'Antiquité à nos jours, avec toujours cette même évidenceâÂÂÂÂ: un bon poison vaut mieux qu'un long discours.
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