"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Importé à Dinard en 1875 et joué par les élites de la Belle Époque, le tennis est devenu une passion nationale dès les années 1920. La presse, la radio, et les actualités cinématographiques magnifient les exploits de la diva Suzanne Lenglen et des Mousquetaires. Au cours des années 1950 et 1960, le tennis français semble s'endormir mais déjà de nouveaux clubs apparaissent. La conversion des classes moyennes à la pratique du tennis s'accélère ensuite pour trouver son apogée avec la victoire de Yannick Noah à Roland Garros en 1983 et de la France en coupe Davis en 1991.
L'une des premières fédérations sportives à devenir indépendante en 1920, celle de lawn-tennis s'est longtemps contentée de légiférer et d'organiser les compétitions au niveau régional et national. Mais, avec la fin du faux amateurisme et le passage à l'ère Open en 1968, la Fédération française de tennis a créé un modèle unique de développement de son sport en puisant dans les bénéfices générés par le tournoi de Roland Garros dont elle est propriétaire.
Clubs plus que centenaires, vieilles revues de tennis et bulletins fédéraux, pédagogie des maîtres-professeurs d'autrefois et des entraîneurs d'aujourd'hui, politiques fédérales, trajectoires de ses douze présidents, patrimoine et sponsors, échanges au-delà des frontières, voici une invitation à revisiter 150 ans d'histoire de France raquette en mains.
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