80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
De la critique libérale de Rousseau par Benjamin Constant à l'assaut de Nietzsche, puis de Heidegger contre les valeurs mêmes du rationalisme, en passant par la subversion marxiste de la rationalité du monde bourgeois, ce volume fait apparaître comment plus d'un siècle et demi de philosophie politique a été dominé par la discussion du programme même de la modernité. Tantôt pour accomplie plus radicalement ce programme, tantôt pour en reformuler la teneur ou pour opposer à nouveau aux idéaux démocratiques les vertus perdues de l'ancien univers aristocratique. Irréductibles les unes aux autres dans leurs soubassements comme dans leurs effets, les critiques évoquées ici témoignent, ne serait-ce que par leur répétition de la vigueur du projet moderne de rompre avec le régime de la tradition. La multiplicité antagonique des discussions libérales, positives, républicaines, anarchistes sociales, néo-traditionalistes de la modernité politique, apparaît comme le signe le plus évident que désormais, par la logique de cette modernité, une référence à de quelconques principes absolutisés, fût-ce ceux de la modernité elle-même, était à jamais exclue. Ont contribué à ce volume : Catherine Audard, Jean-Michel Besniers, Luc Ferry, Dick Howard, Sylvie Mesure, Alain Renaut, Pierre-Henri Tavoillot.
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