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Hippocrate si tu savais... ou d'un tabou à l'autre ; lettre à nos médecins

Couverture du livre « Hippocrate si tu savais... ou d'un tabou à l'autre ; lettre à nos médecins » de Lucienne Foucras aux éditions Marco Pietteur
Résumé:

La France a-t-elle toujours « la meilleure médecine du monde » ? Les 140 000 hospitalisations annuelles pour cause iatrogène, les 13000 décès avérés, voire les 32000 suspectés, les nombreux scandales de santé publique le démentent. Notre pays qui consomme le plus de médicaments en Europe... Voir plus

La France a-t-elle toujours « la meilleure médecine du monde » ? Les 140 000 hospitalisations annuelles pour cause iatrogène, les 13000 décès avérés, voire les 32000 suspectés, les nombreux scandales de santé publique le démentent. Notre pays qui consomme le plus de médicaments en Europe serait-il devenu la proie d'une industrie pharmaceutique envahissante ? Ceux et celles qui en sont victimes sont condamnés au silence et le plus souvent déboutés s'ils portent plainte Y aurait-il alors collusion entre la justice, la presse, le corps médical, le monde politique et l'industrie pharmaceutique ? La méfiance s'est installée. Cette lettre à nos médecins est un appel. Nos médecins comprendront-ils que leurs patients ne veulent plus être des numéros que trop souvent on soigne par protocoles, ni d'une médecine trop technique qui oublie l'individu, ni des interventions de masse toujours dangereuses. Et quand, au terme de maladies graves et douloureuses, vient le moment de leur mort, ils souhaitent pouvoir obtenir de leurs médecins l'aide qu'ils ne peuvent trouver ailleurs.
« Je suis heureux que des personnes comme vous prennent la plume et donnent le point de vue des patients avec tant de clarté et de volonté. C'est comme ça que les choses changeront, même si elles changent trop lentement à notre goût. Votre livre, une nouvelle fois, est donc une entreprise indispensable ».
Martin Winckler, médecin et auteur de La maladie de Sachs.
« C'est en toute liberté que chacun doit pouvoir exposer ses convictions, ses intentions, ses doutes, que la collectivité doit définir une attitude commune, une éthique générée démocratiquement. Ce texte apporte une contribution majeure à cette réflexion ; je souhaite qu'il incite chacun à l'approfondir pour lui-même ». Professeur Albert Jacquard.

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