"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Du déclinologue à la «brève de comptoir», il y a cette expression qui court les rues : «C'était mieux avant !». Nous sommes dans la perte, le regret, le deuil. Le passé ne se rend pas. Le passé est une vie antérieure qui vient frapper à notre porte verrouillée. Il faut aller de l'avant, nous dit-on, mais nous cherchons derrière nous, pauvres Petit Poucet, les petits cailloux laissés par tous ceux qui nous ont précédés. Tous les lendemains déchantent et nous aspirons à d'étranges retours. Le retour du Grand homme, de la spiritualité, du cinéma en noir et blanc, des femmes fatales, de la solidarité, des vrais écrivains... Le passé remonte à la surface. Oui, c'est cela, nous sommes à la recherche d'un temps perdu, par bribes nous tentons de reconstruire un passé décomposé, de redresser le chapiteau d'un paysage disparu et de croire à notre humanité vacillante... Olivier Dazat, dans une ultime tentative pour remonter le temps à l'endroit, nous convie à quelques retours en arrière comme un souffle léger du passé sur la nuque.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !