"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
La chronique amoureuse d'un homme qui sut pacifier un royaume divisé par les guerres de religion, mais qui fut surtout aussi gaillard sur les champs de bataille que paillard dans les alcôves. Princesses ou paysannes, ingénues ou gourgandines, il les a toutes aimées à la folie !
À cinquante-six ans, Henri IV caresse une nouvelle fois le projet de refaire sa vie. Avec la fille d'un prince, comme dit la chanson ! Et le vieux faune n'a que faire de la différence d'âge, même si Charlotte pourrait être sa petite-fille. Comment l'aurait-il donc écrite, cette nouvelle page d'amour, s'il n'y avait pas eu le coup de poignard de Ravaillac pour lui clouer le coeur ? Ce coeur qui n'avait battu que pour la France et pour les femmes ? Qu'elles soient princesses ou paysannes, ingénues ou gourgandines, il les a toutes connues avec fougue et aimées à la folie. Il leur suffisait d'être avenantes pour devenir alors ses " belles amours ", ses " doux menons ", pendant huit jours ou huit mois, huit ans ou huit heures.
Pour entrer dans l'intimité de Margot la scandaleuse ou de Marie la Florentine, de Corisande, de Gabrielle ou de Charlotte, Michel de Decker a suivi Henri IV pas à pas, du berceau au tombeau. Les Dames du Vert Galant sont comme la chronique amoureuse d'un homme qui sut pacifier un royaume divisé par Dieu, et qui fut aussi gaillard sur les champs de bataille que paillard dans les alcôves.
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