Cette année, lecteurs.com est partenaire du Festival International "Quais du Polar" qui se déroule du 4 au 6 avri à Lyon. Evénement incontournable, lieu de rencontre des maîtres du genre avec notamment James Ellroy.
John Tallow est un flic new-yorkais typique : célibataire, désabusé, plus trop dans le coup. Son équipier de toujours, lui, c'est le bon flic, celui que tout le monde aime. Ils sont appelés pour intervenir dans un immeuble décati de Pearl Street, où un forcené en surpoids nu comme un ver hurle et tire sur tout ce qui bouge dans la cage d'escalier. Rosato monte le premier, se fait exploser le cerveau devant Tallow, impuissant, qui est éclaboussé des restes gluants et visqueux de son co-équipier. Fou de rage, il décharge son flingue sur le forcené et défonce en même temps le mur d'un appartement. Quand les techniciens de scène de crime arrivent sur place, ils tombent nez à nez avec une centaine d'armes, fixées sur les murs, du sol au plafond... Des armes qui semblent correspondre à des meurtres non élucidés. Convoqué par sa supérieure, Tallow se fait passer un savon. Le meilleur flic de la brigade est mort et les voilà avec un arsenal d'armes relié à des cold cases sur les bras. Sa punition : démêler l'affaire avec pour seule aide deux bras cassés. Une journée qui commence très mal...
Traduit de l'anglais (Royaume-Uni) par Claire Breton
Cette année, lecteurs.com est partenaire du Festival International "Quais du Polar" qui se déroule du 4 au 6 avri à Lyon. Evénement incontournable, lieu de rencontre des maîtres du genre avec notamment James Ellroy.
Les Explorateurs du polar ont rendu leur verdict et Les larmes de Pancrace de Mallock (Fleuve noir) arrive en tête !
Du chat ou de la souris… qui est qui ?
Un livre au modus operandi vraiment original : plutôt que de s’attarder sur la personne à éliminer, ses habitudes de vie… le chasseur de ce thriller met un point d’honneur à trouver l’arme qui convient le mieux à sa victime, afin de parfaire sa collection.
Pourquoi garder de tels trophées ? Quel sens donner à ce rituel ? Que comprendre de ce ramassis d’armes à feu ? Qui est le commanditaire de ses tueries et pourquoi ?
C’est ce que John Tallow, flic désabusé, lâché par sa hiérarchie, va tenter de comprendre. Aidé de deux agents spécialisés de la police scientifique, il va devoir être plus rapide que le tueur s’il ne veut pas en devenir la cible.
Avec « Gun Machine », Warren ELLIS nous sert un polar urbain à l’atmosphère détonante. A lire sans tarder !
Alors que John Tallow, flic désabusé faisant son boulot plus par habitude que par passion, et son coéquipier Jim Rosato, flic débonnaire apprécié de tous, sont appelés dans un vieil immeuble de Manhattan pour mettre fin au tapage d'un locataire qu'une menace d'expulsion a passablement énervé, tout dérape, et l'intervention de routine se transforme en carnage. Jim, que son corps trahit, se prend une balle en pleine tête, et John riposte en abattant l'excité armé. Sans avoir réellement pris conscience de ce qui vient de se passer, Tallow suit son instinct et, attiré par un trou dans la cloison d'un appartement, jette un coup d'oeil à l'intérieur et découvre l'impensable. La pièce renferme en effet un butin sans pareil: du sol au plafond, sur les quatre murs, s'étalent des dizaines et des dizaines d'armes, exposées comme autant de trophées.
Dans une fuite en avant visant à ne pas s'écrouler, le policier en qui personne n'a foi – pas même lui -, va se jeter à corps perdu dans une enquête qui s'annonce comme la plus ardue et risquée de sa carrière. Avançant à tâtons, épaulé par deux membres perchés, mais motivés, de la police scientifique, il va mettre à jour une terrible alliance dont l'élément central est un homme en marge de la réalité pour qui chaque meurtre relève de l'expérience mystique.
Le premier mérite de Warren Ellis est de nous plonger d'entrée dans l'action. le meurtre de Jim Rosato et la découverte de l'appartement interviennent en effet dans les premières pages. Pas le temps de faire connaissance avec les protagonistes, pas le temps non plus de se poser des questions… les balles fusent et l'enquête débute! C'est un choix d'une redoutable efficacité et on reconnaît bien là le talent du scénariste de comics ( Ellis écrit en effet depuis des années pour Marvel ).
John Tallow est un personnage principal convainquant. Bien loin du cliché de l'habituel vieux flic qui se fout de tous et de tout, et qui recourt à des pratiques qui n'ont plus rien à voir avec la légalité et le sens de la morale, il endosse sa solitude, son caractère asocial et son air désabusé avec une certaine dignité. Jusque là porté par son coéquipier, il apprend au fil de l'enquête à agir seul et, surtout, à entrer en interaction avec son entourage. Obligé de travailler avec Scarly et Bat, scientifiques calés mais complètement barrés, il doit malgré lui s'ouvrir aux autres et leur porter un minimum d'intérêt. Plus il avance dans ses découvertes, plus nous, lecteurs, en apprenons sur sa personnalité.
Ses nouveaux coéquipiers de choc sont d'excellents personnages secondaires dont les dialogues pimentés donnent du rythme au récit. Possédant tous deux une personnalité bien marquée et un humour décapant, ils n'hésitent pas à bousculer John et à le faire sortir de sa réserve. Rapidement convaincus par ses talents d'enquêteur, ils sont tout acquis à sa cause et mettent tout en oeuvre pour l'aider.
Le deuxième mérite de l'auteur est de livrer un roman policier finalement très visuel. Alimentant notre imaginaire à grands coups de descriptions détaillées et parlantes, il donne à son récit des allures de long métrage. le développement de l'intrigue, les personnages, le rythme et l'action… tout y est.
Son choix d'un coupable souffrant de maladie mentale et très attaché à l'héritage amérindien de la presqu'île de Manhattan est également bien trouvé. Il nous livre ses pensées et ses habitudes dés le début du livre, en parallèle de celles de Tallow, la distance entre les deux se réduisant au fur et à mesure que l'enquête progresse. Il en fait un meurtrier attaché au passé, dont chaque acte a un sens profond et qui ne laisse rien au hasard. Tenant tout à la fois du fou, du génie, du serial killer et du collectionneur, il fait jeu égal avec celui qui le traque jusqu'à ce que ses relations de « travail » le perdent.
Le suspens est constant et rien ne laisse présager le dénouement de l'affaire. On avance pas à pas, presque main dans la main, avec John Tallow et ses acolytes.
Ce fut donc une deuxième expérience réussie en matière de roman policier, et j'aurais plaisir à découvrir l'autre titre de Warren Ellis: « Artères souterraines ».
Les droits de « Gun machine » ont été achetés par le cinéma – c'était prévisible -, donc nous devrions pouvoir bientôt retrouver John Tallow sur grand écran.
Polar intéressant, mais sans grande originalité dans la forme. Dans le fond, l'intrigue est vivante.
Les curieuses aventures de ce flic un peu atypique qu'est John Tallow, face à un faux indien, (qui de prend pour Mack Bolan l'Exécuteur de Don Pendleton), tueur qui sans qu'on sache très bien pourquoi dans une grande partie du livre, se livre à une chasse dans les rues de New York qu'il replace dans le passé, du temps où les indiens étaient chez eux sur ces territoires... La violence est au rendez-vous pour les amateurs, et âmes sensibles s'abstenir de lire cet ouvrage. Après l'assassinat de son co-équipier, Tallow n'a plus qu'une idée, trouver son assassin. Il bénéficie de la collaboration de deux "PTS" qui lui permettent de mieux cerner la personnalité trouble de ce serial killer, qui met un point d'honneur à "marier" l'arme à la personnalité de sa victime; et ensuite, il stocke ses armes dans un appartement, qui lui sert à recréer une sorte de sanctuaire à la mode amérindienne qui est sa référence. Ce criminel d'exception sait gérer des "cartes" des lieux de New York, tout en se référant toujours à ce qu'ils ont pu être jadis, avant qu'ils ne soient devenus cette ville tentaculaire... Le chasseur semble manipulé par trois hommes d'affaires, mais finalement, qui manipule qui?
Gun machine -à ne pas confondre avec Machine gum qui n'a rien à voir puisque c'est une BD sans texte que j'ai lue récemment- est un polar qui commence de manière étonnante, entre le tragique et le comique comme le montre bien l'extrait suivant qui relate la première fusillade :
"Forcené à poil se campa au bord du palier, pointa son fusil et tira. Le coup arracha la partie supérieure gauche du crâne de Jim Rosato. Il y eut un ploc quand un bout de sa cervelle s'écrasa contre le mur. De là où il se tenait, trois marches plus bas sur la droite, Tallow vit l'œil de Rosato valser à une bonne dizaine de centimètres de son orbite, toujours relié à elle par un fatras d'asticots rouges. Durant cette unique seconde, Tallow s'avisa distraitement qu'au dernier instant de sa vie, James Rosato pouvait voir son assassin sous deux angles différents." (p.12)
Et ça continue comme cela dans un registre très moderne : phrases et chapitres courts, mots d'argots voire inventés, jurons (je n'ai pas compté les "chiotte" échangés entre Rosato et Tallow), expressions fabriquées de toutes pièces, bref, un langage oral, fleuri, familier (dans certains types de lieux ou de professions, parce que perso, je parle pas comme ça), voire vulgaire ou grossier. Je salue ici le travail de Claire Breton, traductrice qui a dû en baver, même si parfois certaines phrases sont mal écrites, bizarrement, celles qui font appel à un autre registre de langage : "Mais ça n'a pas suffi à vous exonérer de je ne sais quelle punition elle estimait que vous méritiez ?" (p.63) Voilà donc un polar qui commence bien. Le problème c'est qu'on a l'impression qu'il ne fait que commencer tant il se traîne en longueurs et en longueur. Page 130, même si l'on est entré dans le vif du sujet, on ne sait toujours pas trop de quoi il retourne. De même on a à peine fait connaissance avec les personnages : on sait que Tallow est sur la touche, qu'il vit seul, lit beaucoup, refume, que Bat et Scarly sont les deux flics scientifiques complètement barrés qui l'aident, contraints et forcés. Et puis, je ne comprends pas tout ce que je lis, le langage qui peut paraître plaisant est parfois abstrus, Tallow agit sans que l'on sache pourquoi, on nous l'explique bien après si bien qu'on lit des pages dont on ne comprend pas réellement l'intérêt : assez déstabilisant. De même, le côté déjanté de Bat et Scarly est un petit peu too much, les meilleures blagues sont celles qui ne durent point trop, même si j'aime le comique répétition -encore faut-il savoir en user. Lecture fatigante à la longue.
Peut-être suis-je trop conformiste pour apprécier toutes les subtilités de ce roman, mais je pense que subtilité il n'y a pas et que Warren Ellis avance au contraire avec des gros sabots, bien lourds et cradingues ? Mais je ne demande qu'à être contredit. A bon entendeur...
John Tallow est flic à New-York. C’est l’archétype même du flic désabusé, solitaire et peu soucieux de son travail, alors que son équipier, James Rosato, est au contraire l’image du parfait policier, apprécié par tous. Dans la cage d’escalier de son immeuble de Pearl Street au sud de Manhattan, un forcené complétement nu tire sur tout ce qui bouge. Les deux équipiers sont appelés en intervention. Rosato se fait descendre, et Tallow, impuissant, décharge son flingue sur le forcené. Les techniciens de scène de crime arrivés sur place sont intrigués par un appartement voisin dans lequel une décharge a traversé le mur, mais personne ne répond et la porte est impossible à ouvrir. Tallow décide de défoncer le mur de l’appartement. Et les voilà face à une quantité incroyable d'armes de toutes sortes, fixées sur les murs, du sol au plafond... un premier rapport balistique portant sur quelques armes prises au hasard montre qu’elles correspondent à des armes utilisées lors d’affaires de meurtres non élucidées.
Convoqué par sa supérieure, Tallow passe un mauvais quart d’heure : non seulement son super équipier est mort, mais en plus les voilà avec un arsenal d'armes, et de ce fait sans doute une montagne de « cold cases » à comprendre et à résoudre. C’est une affaire qui s’annonce bien compliquée. Et d’ailleurs qui sait s’il faut réellement la résoudre. Tallow va devoir mener l’enquête avec l’aide de deux techniciens à première vue assez peu fiables.
Le voilà sur les traces des premiers bâtisseurs de la cité de Manhattan, des tribus amérindiennes et de leurs sortilèges. Et surtout face à un tueur en série, un tueur fou à lier, qui évolue dans un monde parallèle, celui de cette autre Manhattan des premiers temps, celle des peaux rouges et de la suprématie de la nature sur l’homme. Mais face à un « chasseur » qui est en fait un tueur azimuté qui agit dans l’ombre depuis de très nombreuses années sans se faire prendre.
On y croise aussi des chefs de la police un peu véreux, des chefs d’entreprise corrompus, des agents de la police technique et scientifique complétement allumés mais particulièrement doués cependant pour résoudre une affaire impossible. Malgré tous ces morts, ces évènements sanglants et cette litanie de meurtres et de crimes diffusée en particulier, et comme un rappel de l’horreur, sur le canal radio de la police, le livre est écrit avec une forme d’humour et un rythme tout à fait particulier qui fait qu’on s’y attache et qu’on a envie d’en connaître l’issue. Même si le scénario de ce tueur en série est au final bien peu crédible. Le récit et les dialogues aux traits quelque peu exagérés nous permettent d’imaginer Tallow et son « chasseur » l’arme à la main, façon BD et Comics, la spécialité de l’auteur, on parcourt avec eux les rues d’une Manhattan inconnue et mystérieuse.
Il était une fois … au cœur de New York, John Tallow, flic typique de la police de New York, célibataire, désabusé, hors convention et son coéquipier Jim Rosario, flic que tout le monde aime. Intervention banale dans un immeuble délabré pour maîtriser un locataire menacé d’expulsion mais… « il y a des jours comme ça où tout fout le camp ! » dixit John Tallow.
L’intervention dégénère. Résultat : Jim Rosato mort, le locataire mort. Le lecteur est rapidement mis au parfum du roman noir mais l’enquête ne s’arrête pas là… elle commence puisque John Tallow et les flics sur place découvrent un appartement rempli d’armes à peine les corps soulevés de la scène de crime.
Pas le temps pour le vague à l’âme, pas de répit pour le lieutenant Tallow après la perte de son coéquipier. Moteur ! Il faut résoudre l’enquête ou les enquêtes concernant ces armes. L’affaire est embarrassante pour ses supérieurs et intrigante pour le lecteur. L’action prend vite un rythme effréné. L’auteur donne au passage une petite leçon sur les armes. Rapidement, le lieutenant n’est plus tout seul pour résoudre cette enquête. Les personnages ont une sensibilité toute particulière… particulièrement touchante. Pas de temps mort pour les enquêteurs à New-York, ni pour le lecteur qui est pris par le suspense, l’enchaînement de l’action et la pression ambiante.
Enfin, les intuitions de l’enquêteur sont bonnes, indiquent les bonnes pistes et l’enquête finit par aboutir mais la machination est dans la ville… Jouant sur la mythologie et des rituels amérindiens, l’image du tueur en série et les mondes de la finance, de la sécurité et de la corruption policière, l’auteur donne à l’intrigue une bonne dose de rebondissements pour un polar noir urbain qui fonctionne à merveille et qui déménage. Le style est direct et bourré de testostérones, l’écriture sans détour… l’intrigue prend aux tripes, le lecteur est tenu en haleine jusqu’au bout.
Alors il était une fois … au cœur de New-York, le « bon », le « brut » et le « truand »… mais tout va bien, l’auteur maîtrise parfaitement, il est armé jusqu’aux dents.
Alors que jusque là John Tallow faisait son boulot de flic sans réelle motivation, il change de philosophie le jour où Jim Rosato, son partenaire, est descendu par un forcené à poil dans un vieil immeuble new-yorkais. C'était Jim le bon flic, celui que tout le monde appréciait, qui s'y connaissait en bagnole, en conduite et qui passait toujours le premier lors des interventions. Alors John flingue le pourri qui a tué son coéquipier et, encore souillé du sang et de la cervelle de son ami, commence ses investigations dans l'immeuble. Ce faisant, il découvre un appartement blindé, véritable cache d'armes où au moins deux cents flingues en tout genre sont artistiquement disposés du sol au plafond. Sommé par sa chef de régler cette affaire au plus vite, John se rend compte que les armes ont servi à commettre des crimes non résolus, qu'il est seul sur le coup et que sa hiérarchie va enterrer l'affaire et sa carrière avec. Heureusement, dans son malheur il a la chance de tomber sur deux TSC (techniciens de scène de crime) un peu barrés mais très doués qui vont mettre toutes leurs compétences au service de la quête de celui qu'il a baptisé ''Le chasseur'', cet homme insaisissable qui a fait de Manhattan son terrain de chasse et tue en toute impunité depuis des décennies.
Si Warren ELLIS est surtout connu pour son travail de scénariste chez Marvel, il ne démérite pas avec ce polar sombre et déjanté très réussi. Manhattan, comme si on y était, avec son lot de crimes et ses flics en patrouille. L'auteur nous donne d'ailleurs à voir une police bien loin de l'image idéale véhiculée par les séries du genre. Ici, pas de solidarité, pas d'amitié, pas de soutien. Les gradés ne pensent qu'à leur carrière et à une éventuelle promotion, personne ne veut se mettre son supérieur à dos, en bref, personne ne veut se mouiller. Carriérisme et corruption sont érigés en valeur et les flics de base de débrouillent avec la rivalité entre services, le manque de moyens, le manque d'effectifs et les coups tordus de la hiérarchie. Au travers de ses personnages de flics désabusés qui font de leur mieux tout en pressentant que leur affaire finira aux oubliettes, ELLIS dresse le portrait d'une société américaine où le crime est un fait banal dont l'individu lambda se tient pour préserver sa tranquillité et qui n'intéresse le flic que dans la limite où il peut en tirer bénéfice. Mais, là où il aurait pu se contenter d'écrire un énième scénario pour un épisode de NYPD blue, il a su se démarquer en raconter aussi l'histoire de la ville depuis l'époque où elle était le territoire des amérindiens. Anecdotes historiques, légendes amérindiennes et physionomie de l'ancienne Manna-hata des Lepones émaillent un récit vif et percutant que l'on dévore avec jubilation. John Tallow , anti-héros partagé entre sa volonté d'aller jusqu'au bout et son envie de tout lâcher est un personnage qu gagne en épaisseur au fil de l'histoire et qu'on aurait plaisir à retrouver dans d'autres enquêtes, surtout s'il est encore une fois secondé par Bat et Scarly, les deux énergumènes du service technique qui apportent la dose d'humour nécessaire pour contrebalancer les horreurs décrites par le menu.
Un polar qui tient la route, efficace et addictif.
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