"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Guillaume Gillet (1912-1987) est, par son oeuvre et par sa carrière, l'un des architectes les plus représentatifs des Trente Glorieuses. Premier Grand Prix de Rome, il est à la tête de l'une des principales agences françaises. Il participe à de nombreux concours, réalise d'importants aménagements urbains et programmes immobiliers. Son oeuvre est marquée par le mariage de l'art et de la technique en des édifices à la plastique étonnante.
Petit-fils et fils d'académiciens, il entre à l'Académie des Beaux-arts en 1968 récompensé pour son engagement en faveur des arts et de l'architecture en particulier. Sous la coupole de l'Institut, il prononce les discours de réception de nouveaux membres : Iannis Xenakis, Roger Taillibert, Kenzo Tange, Ieoh Ming Pei. Il est l'auteur de nombreux articles dans lesquels ses prises régulièrement attaquée.
Il milite pour une architecture pleinement de son époque, déclarant en 1965 "Nous vivons un âge d'or de l'architecture". Les projets suivants sont ici développés : l'église Notre-Dame de Royan (1958), le pavillon de la France à l'Exposition de Bruxelles (1958), l'École nationale de la magistrature à Bordeaux (1972), le projet du Grand hôtel d'Orsay (1962), le domaine du Roy d'Espagne à Marseille (1958-1973).
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