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Bien peu s'intéressent encore au parler franco-provençal du Dauphiné qui n'a d'ailleurs jamais connu de reconnaissance littéraire ; pourtant, au milieu de cette indifférence, un texte, depuis bientôt trois siècles, brave l'oubli : Grenoblo malhérou. Sa « mise en images » au XIXe siècle lui a donné une seconde jeunesse. Sans cesse publié depuis, il est devenu le seul classique de la littérature patoisante du Dauphiné.
A y découvrir (ou y redécouvrir) ce qu'était le parler populaire de Grenoble au XVIIIe siècle, s'y souvenir des crues mémorables et catastrophiques que l'Isère et le Drac firent subir à la capitale dauphinoise, et sans y oublier les gravures qui forment comme un second livre sur le Grenoble du temps passé.
François Blanc, dit La Goutta, (1662-1742) était un épicier-poète, demeurant place Claveyson à Grenoble. Son Grenoblo Malhérou (suivi de la Coupi de la Lettra) est le récit minutieux (et en vers) des inondations de septembre 1733 qui dévastèrent Grenoble et sa région.
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