Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Bien peu s'intéressent encore au parler franco-provençal du Dauphiné qui n'a d'ailleurs jamais connu de reconnaissance littéraire ; pourtant, au milieu de cette indifférence, un texte, depuis bientôt trois siècles, brave l'oubli : Grenoblo malhérou. Sa « mise en images » au XIXe siècle lui a donné une seconde jeunesse. Sans cesse publié depuis, il est devenu le seul classique de la littérature patoisante du Dauphiné.
A y découvrir (ou y redécouvrir) ce qu'était le parler populaire de Grenoble au XVIIIe siècle, s'y souvenir des crues mémorables et catastrophiques que l'Isère et le Drac firent subir à la capitale dauphinoise, et sans y oublier les gravures qui forment comme un second livre sur le Grenoble du temps passé.
François Blanc, dit La Goutta, (1662-1742) était un épicier-poète, demeurant place Claveyson à Grenoble. Son Grenoblo Malhérou (suivi de la Coupi de la Lettra) est le récit minutieux (et en vers) des inondations de septembre 1733 qui dévastèrent Grenoble et sa région.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !