"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Né à Berlin dans une riche famille juive, Giacomo Meyerbeer (1791-1864) donne ses premiers concerts publics à seulement dix ans. Il apprend la composition avec Zeller et compte Carl-Maria von Weber comme condisciple. Parti se perfectionner en Italie, il italiénise son prénom et connait son premier succès en 1824 avec Il Crociato in Egitto. Installé à Paris, il crée Robert le Diable (1824) qui établit, à la suite du Fernand Cortez de Spontini, les bases du «Grand Opéra Français» dont le compositeur sera le meilleur ambassadeur dans le monde entier. Le succès se confirme quand ans plus tard avec le même librettiste, Eugène Scribe, dans Les Huguenots. Nommé directeur musical de la cour de Prusse à Berlin, Meyerbeer ne connaîtra jamais la reconnaissance de ses confrères allemands. Revenu présenter Le Prophète (1849), il meurt à Paris avant la création de son ultime opéra, l'Africaine. Son parcours n'est pas sans rappeler des parallèles avec celui de Spontini, qui s'illustra dans les mêmes domaines et territoires avant lui.
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